Un art poétique ancré dans le quotidien le plus banal, dans les pas de Bukowski ou Carver, qui convoque la maison familiale, la nature, les montagnes, les amours déçues, les épines initiatiques de la vie.
Affranchies des questions de métriques et de rimes (mais pas de rythmes), ces « histoires courtes » privilégient le fond à la forme. Ces poèmes, d’abord publiés sur les réseaux sociaux – qui lui servent de terrain d’expérimentations -, sont bel et bien une oeuvre, qui invite à reconsidérer la poésie dans sa forme la plus simple, la plus radicale, la plus militante,
La plus contemporaine ?
La Compagnie Maâloum aborde la poésie et tâche de répondre au projet de Cécile Coulon dans ce qu’elle entend de son écriture poétique : inviter le concret dans ce qu’il a de plus brutal et de plus sensible.
Tirés du recueil de poèmes Les ronces de Cécile Coulon aux éditions Le Castor Astral. Prix Guillaume-Apollinaire 2018, Prix Révélation de la poésie de la SGDL